L’auteure
soulève
un
certain
nombre
de
points
délicats
dans
la
société
actuelle,
dont
celui
du
rôle
des
femmes
:
au
meilleur
de
leur
capacité
intellectuelle,
les
femmes
doivent
prendre
la
distance
nécessaire
pour
la
maternité,
pour
aller
au
parc
avec
les
enfants.
Et
la
maternité
infuse
tout
le
texte.
L’auteure
sait
nous
faire
ressentir
avec
doigté
cette
inquiétude
qui
jaillit
au
creux
du
ventre
au
moment
de
devenir
parent.
Mme
Babin-Gagnon
aborde
avec
finesse
la
«
honte
»
que
ressent
cette
femme,
amante
et
mère
de
famille,
de
faire
cela
aux
siens,
de
se
sentir
fatiguée,
d’être
malade.
L’article sur le livre de Nathalie Babin-Gagnon , » J’étais si bien » est la la page 13 du .Journal culturel de l’Abitibi-Témiscamingue