«Vent
noir»
de
Nathalie
Babin-Gagnon:
« La
romancière
ne
fait
pas
de
quartier
quand
c’est
le
temps
d’user
de
termes
crus
pour
relever
les
sentiments
exprimés.
C’est
sans
doute
ce
qui
épice
son
récit.
Un
mal
de
vivre
est
latent
chez
tous.
Et
soulignons
qu’elle
est
une
rare
romancière
à
évoquer
des
amours
masculines.
Elle
portraiture
à
merveille
le
poids
de
l’existence. »
Culturehebdo.
http://www.culturehebdo.com/livres.htm
Est-ce que c’est parce qu’elle est attachée à la salle des nouvelles radio de Radio-Canada à Montréal ?Nathalie Babin-Gagnonest confrontée en tout cas à bien des réalités. Qui sans doute l’inspire comme dans ces histoires deVent noirson deuxième roman après « J’étais si bien ». On retrouve quatre pe…