Danielle Laurin au sujet de «Vent noir» de Nathalie Babin-Gagnon: [L’auteure] maîtrise l’art de la multiplication des points de vue, L’art d’émouvoir, aussi. Et d’écorcher, au passage. Sauf qu’elle en fait trop, juste un peu trop.
Ce qui suit n’a rien à voir avec l’actualité des dernières semaines. Et pourtant…