Dans son article »Le pouvoir infini de l’art», Nathalie Petrowski mentionne qu’on ne parle pas assez de « David Fennario, dramaturge anglo-montréalais à qui on doit le célèbre Balconville et, plus récemment, Motherhouse, une pièce sur la Première Guerre mondiale et les usines de munitions qui pullulaient dans son Verdun natal. Aujourd’hui confiné à un fauteuil roulant mais fidèle au quartier de son enfance, Fennario est l’objet du documentaire, The Good Fight, de Martin Duckworth et Robbie Hart. On y voit un Fennario diminué physiquement mais toujours aussi rebelle et engagé. »
Pour
mieux
connaître
Fennario,
procurez-vous
«Sans
Parachute»,
le
seul
roman
qu’il
ait
écrit.