FRANCE MARTINEAU TOUCHE… ENCORE
« Je
n’ai
pas
senti
la
victime
coléreuse,
vindicative.
J’ai
senti
l’enfant
blessée,
rejetée.
Je
me
suis
revue
devant
ma
mère
mourante,
je
me
suis
revue
assise
devant
tous
les
documents
et
livres
que
mon
père
m’a
laissés.
« Je
n’ai
pas
lu
des
mots
crus,
des
mots
parlés,
des
mots
durs
des
jeunes
auteur.
e.
s.
Tout
ce
que
j’aime
:
des
phrases
bien
écrites,
dans
ce
français
que
j’ai
appris,
qui
glisse
et
caresse,
des
phrases
qui
touchent,
qui
frappent. »
Claude
Lamarche
à
propos
de
Ressacs,
de
France
Martineau