Autodidacte
en
tout,
François
Bellemare
est
amant
de
la
grande
Histoire
humaine
comme
de
la
petite
chronique
locale.
Entrecoupée
de
longs
séjours
sur
quatre
continents,
sa
montréalité
de
souche
s’abreuve
à
toutes
les
cultures.
Et
se
nourrit
de
slampoésie,
ce
genre
tonitruant
mille
tendances :
du
lyrisme
fleurdelysé
au
féminisme
intersectionnel.
Y
étant
spectateur
assidu
et
performeur
occasionnel,
il
s’en
inspire
pour
signer
ici
son
premier
roman.
Photo : Michel Dubreuil