Lise

ALAIN_SLO

Gens de la région de Gatineau, Alain Poissant sera à votre Salon du livre le samedi 1er mars de 14h à 15h30 et de 19 à 20h. Une belle rencontre avec l’auteur finaliste au Prix des libraires avec Le Sort de Bonté III.

Alain_Vaugeois

C’est l’histoire d’un monde qui change, de deux êtres solitaires qui finiront peut-être par se trouver. En moins de cent pages, Alain Poissant nous raconte, à travers ces deux personnes, le destin d’un village d’aujourd’hui. Toute la grandeur de ce roman (Le sort de Bonté III) se retrouve dans cette économie de mots et d’effets. Un livre où le non-dit prend autant d’importance que ce qui est écrit. Librairie Vaugeois.

R.Boisvert!Alain

À lire ce dimanche 12 janvier,  en prenant son café du matin, l’article de Richard Boisvert sur Le sort de Bonté III d’Alain Poissant, dans Le Soleil de Québec.

 

Victor Teboul/Jérémiades

Ayant décroché durant les vacances, j’ai eu aujourd’hui le bonheur de lire une analyse juste et belle de Victor Teboul, sur Les Jérémiades de Simon Boulerice. Cela commence bien l’année 2014, que je vous souhaite pleine de succès et de grands et petits bonheurs.

Victor Teboul/Jérémiades

Ayant décroché durant les vacances, j’ai eu aujourd’hui le bonheur de lire une analyse juste et belle de Victor Teboul, sur Les Jérémiades de Simon Boulerice. Cela commence bien l’année 2014, que je vous souhaite pleine de succès et de grands et petits bonheurs.

Récital_Culturehebdo

On ne peut pas dire que ce sont les thèmes audacieux qui freinent les éditions Sémaphore. Nous voici en présence d’un roman qui explore les limites de la soumission humaine.

 

Bonté III_Monet

La librairie Monet a choisi Le sort de Bonté III d’Alain Poissant parmi les meilleurs livres de 2013 parus jusqu’à maintenant.

 

Haranois_Bourse Jean-Pierre Guay

Félicitations à Jonathan Harnois, l’auteur de Je voudrais me déposer la tête.

Jonathan est  le tout premier lauréat de la Bourse Jean-Pierre-Guay – Caisse de la Culture.

«Le jury, à l’unanimité, a a tenu à souligner la cohérence du projet de monsieur Harnois qui prendra la forme d’un recueil de nouvelles. La sobriété de son écriture, à la fois dense, poétique, rythmée, est animée d’un souffle qui secoue le lecteur et le bouleverse.»

Membres du jury: les écrivains Roxanne Bouchard, Pierre Nepveu, François Turcot et la libraire Manon Trépanier – ont rendu une décision unanime, en présence de Ginette Major (observatrice, déléguée par la Caisse de la Culture).

 

 

Auger_Lamarche

Au sujet de Le dernier hiver de Louise Auger, Claude Lamarche écrit: «Le plus beau, c’est le style. Des phrases comme je les aime, comme j’aimerais en écrire. Des mots qui disent la nature, les saisons, le lac et la campagne. Des mots riches, recherchés sans être inaccessibles. Des images douces, des révélations qui devraient être plus souvent partagées, des dialogues juste ce qu’il faut, pas trop. Des émotions aussi que j’ai été heureuse de vivre par personne interposée et d’autres que j’ai reconnues miennes».

Coeur de camomille_Barbelés

Barbelés n’est pas exempt de maladresses, & aussi de certaines redondances ; ce n’est définitivement pas un livre parfait. (Qui voudrait d’un livre parfait, de toute façon?) Mais je l’ai lu lentement, à petites doses, parce qu’il y a des choses là-dedans qui n’arrêtaient pas de me chambouler. Je ne connais pas le milieu carcéral, ou pas assez pour en parler intelligemment, mais l’idée d’une vie presque entièrement passée à tourner en rond, à ressasser les mêmes souvenirs, à se dire que si certaines avaient tourné autrement – je sais pas. Ça me bouleverse. Cœur de camomille.

Hugo Prévost_Barbelés

Pierre Ouellet dispose d’une vivacité d’esprit digne de celle d’un grand penseur. Intelligent, articulé, l’homme sait s’exprimer, et, dans Barbelés, récemment publié aux Éditions Sémaphore, il prouve sans aucun doute son talent littéraire. Et ce, même pour un homme condamné à la prison à perpétuité. Hugo Prévost, La pieuvre

P. Boivin_First Class

Beau cadeau de retour de vacances, ce commentaire de Pierrette Boivin dans le dernier Nuit blanche, sur le roman First Class. L’héroïne «fine observatrice, forte et dotée d’un sens critique certain, d’humour aussi,  raconte ce qu’elle voit et perçoit, ce qu’elle ressent, et entremêle son récit de judicieuses réflexions. Sous l’éclairage cru de la réalité, Mariel revisite les clichés répandus sur la spiritualité hindouiste.» Pierrette Boivin, Nuit blanche, no 130, p. 35.