L’histoire
se
déroule
en
banlieue.
Alliant
prose
poétique
et
grande
lucidité,
Jonathan
Harnois
raconte
sans
complaisance
les
sentiments
vécus
après
le
suicide
de
son
meilleur
ami,
et
ses
efforts
pour
donner
un
sens
à
sa
propre
vie.
Une
magnifique
ode
à
la
vie,
à
l’amitié
et
à
l’amour.
Jonathan
Harnois
est
né
à
Joliette.
L’adaptation
théâtrale
de
son
roman,
jouée
par
le
théâtre
PàP
à
l’Espace
Go,
et
mise
en
scène
par
Claude
Poissant,en
avril
2007
a
été
suivie
du
le
film
Le
lendemain
de
la
fête
de
Stephan
Miljevic
en
2008,
dans
lequel
l’auteur
nous
mène
sur
les
lieux
de
son
roman.
notes :
<strong>Finaliste
au
prix
Anne-Hébert
2006.</strong><br/>
<br/>
Une
des
"nouvelles
voix
qui
secouent
le
roman
québécois",
<strong>Martine
Desjardins</strong>,
<em>L'actualité</em>,
janvier
2011.
Revue
de
presse
Je
voudrais
me
déposer
la
tête.
«
Quand
chaque
mot
est
le
mot
juste
et
qu’il
est
à
la
bonne
place
dans
la
phrase,
ça
donne
un
livre
épuré
et
dense
en
contenu.
»
«
Ça
en
fait
un
livre
lumineux.
»
Coup
de
cœur
de
la
libraire
Chantal
Savoye
(Librairie-Café
Le
Mot
de
Tasse),
Première
heure
estivale,
Radio-Canada
Québec,
juillet
2022
Je
voudrais
me
déposer
la
tête
–
Jonathan
Harnois
parle
de
son
rapport
à
l’écriture
dans
le
contexte
d’un
projet
avec
quelques
camelots
de
l’Itinéraire :
« Je
pense
que
si
les
livres
existent,
si
les
œuvres
littéraires
continuent
d’exister,
si
les
chansons
continuent
d’exister,
on
n’est
pas
sauvé,
mais
on
se
donne
une
chance. »
Reportage
« Le
pouvoir
de
l’écriture »
à
l’émission
Second
regard
(Radio-Canada).
Je
voudrais
me
déposer
la
tête
–
Six
représentations
d’une
adaptation
d’Olivier
Normand
du
roman
de
Jonathan
Harnois
ont
eu
lieu
du
15
au
21
octobre
2017,
au
Théâtre
du
Conservatoire
d’art
dramatique
de
Québec.
L’Union
des
écrivaines
et
des
écrivains
québécois
est
heureuse
d’annoncer
que
l’écrivain
Jonathan
Harnois
est
le
tout
premier
lauréat
de
la
Bourse
Jean-Pierre-Guay
–
Caisse
de
la
Culture.
Réunis
le
30
avril
dernier
à
la
Maison
des
écrivains,
les
membres
du
jury
–
les
écrivains
Roxanne
Bouchard,
Pierre
Nepveu,
François
Turcot
et
la
libraire
Manon
Trépanier
–
ont
rendu
une
décision
unanime,
en
présence
de
Ginette
Major
(observatrice,
déléguée
par
la
Caisse
de
la
Culture).
Le
jury
a
tenu
à
souligner
la
cohérence
du
projet
de
monsieur
Harnois
qui
prendra
la
forme
d’un
recueil
de
nouvelles.
La
sobriété
de
son
écriture,
à
la
fois
dense,
poétique,
rythmée,
est
animée
d’un
souffle
qui
secoue
le
lecteur
et
le
bouleverse,
ont-ils
ajouté.
Né
à
Joliette
en
1981,
Jonathan
Harnois
a
fait
des
études
universitaires
en
philosophie.
Son
premier
roman,
Je
voudrais
me
déposer
la
tête,(Les
Éditions
Sémaphore)
lui
a
valu
d’être
finaliste
au
prix
Anne-Hébert
en
2006.
Claude
Poissant
a
adapté
l’œuvre
pour
le
théâtre
en
2007,
alors
que
le
documentaire
Le
lendemain
de
la
fête
s’est
inspiré
de
son
univers.
En
2009,
il
a
reçu
le
premier
prix
littéraire
Radio-Canada
pour
son
récit
Sonam,
inspiré
d’un
voyage
au
Tibet.
Depuis,
il
se
consacre
à
la
scénarisation
de
longs-métrages,
à
la
photographie
d’art
et
à
la
musique.
La
bourse
Jean-Pierre-Guay
–
Caisse
de
la
Culture
a
été
créée
afin
de
rendre
hommage
à
la
mémoire
de
Jean-Pierre
Guay
(1946-2011)
dont
le
travail
à
la
présidence
de
l’UNEQ
a,
grâce
à
un
règlement
important
dans
le
dossier
de
la
reprographie,
donné
à
l’Union
une
assise
financière
solide
et
a
également
permis
la
création
du
Fonds
de
secours
Yves-Thériault.
« J’ai
découvert
ce
sublime
roman
par
l’adaptation
théâtrale
mise
en
scène
par
Claude
Poissant
en
2007.
Depuis,
je
relis
souvent
cette
œuvre
d’une
poésie
douloureuse,
qui
rend
magnifiquement
compte
de
la
puissance
de
l’amitié
et
qui
raconte
le
suicide
de
manière
très
poignante,
témoignant
aussi
du
désarroi
des
banlieues
québécoises
avec
une
grande
acuité. »
Une
suggestion
de
Yanik
Pépin,
à
Plus
on
est
de
fous,
plus
on
lit,
le
14
février
2013.
Harnois
parvient
avec
brio
à
éviter
les
écueils
de
ce
thème
mille
fois
visité
et
nous
livre
un
récit
tout
en
nuances,
porté
par
une
plume
d’une
beauté
douloureuse.
Anne-Pascale
Lizotte,
de
la
librairie
Monet,
Le
libraire.
…
écrivain
aux
ardeurs
rimbaldiennes.
Sarah
Mouton,
Entre
les
lignes
Je
voudrais
me
déposer
la
tête
sort
la
poésie
des
cimetières
et
s’en
sert
pour
nous
faire
vivre
un
récit
véhément.
Laurence
Deschamps-Laporte,
L’artisan
étudiant.
Harnois
ne
fait
pas
du
style,
il
a
du
style.
Josée
Bonneville,
Lettres
québécoises.
…
un
sublime
petit
essai
de
Jonathan
Harnois
qui
restera
longtemps
gravé
dans
l’esprit
du
lecteur.
Magique.
Martin
Gignac,
CHOQ.FM
Un
livre
tout
à
fait
étonnant…
maîtrisé…
lumineux…
Vie
intérieure
d’un
enfant
de
la
banlieue…
Les
personnages
sont
tous
beaux,
tous
forts,
même
Félix
qui
se
suicide…
Je
le
recommande
à
tout
le
monde.
Raymond
Cloutier,
Porte
ouverte.
Par
son
sujet
d’actualité,
ce
roman
devrait
particulièrement
intéresser
les
lecteurs
dans
la
vingtaine.
L’histoire
captivante,
qui
se
lit
en
moins
de
deux
heures,
va
au
cœur
des
choses
et
ne
s’encombre
pas
d’un
discours
moralisateur,
maintes
fois
entendu,
sur
un
enjeu
dérangeant.
Olivier
Dumas,
Montréal
Campus.
C’est
un
tout
petit
roman,
peu
de
pages,
peu
de
mots,
mais
chaque
mot
est
minutieusement
pesé,
comme
si
c’était
de
l’or
(…)
Il
y
a,
dans
ce
récit
douloureux
traversé
par
des
éclairs
de
lucidité,
bien
assez
de
trouvailles,
de
beauté,
d’images
bouleversantes,
pour
faire
oublier
les
quelques
naïvetés.
Marie-Claude
Fortin,
La
Presse.
Ma
plus
grande
révélation
littéraire
de
ces
deux
dernières
années.
[…]
J’ai
été
happé,
troublé,
bouleversé.
C’est
un
roman
formidablement
poétique
[…]
des
images
qui
font
des
éclats,
des
éclairs
[…]
roman
d’une
beauté
inouïe.
Un
véritable
écrivain
est
né.
Pierre
Bernard
à
Christiane
Charette,
6
fév.
2007.
Jonathan
Harnois
traite
le
thème
délicat
du
suicide
par
petites
touches
sensibles
et
nous
donne
à
lire
un
récit
poétique
poignant.
L’auteur
à
l’imagination
fantaisiste
invente
des
métaphores
qui
se
répondent
à
quelques
pages
de
distance,
crée
des
atmosphères,
les
défait
aussitôt,
déforme
les
mots
pour
en
faire
jaillir
un
nouveau
sens.
Il
faut,
pour
entrer
dans
ces
pages,
une
lecture
lente
si
on
veut
apprécier
le
style
imagé
et
tout
en
douceur
de
ce
jeune
écrivain
qu’il
faudra
surveiller
de
près.
De
très
près.
Suzanne
Giguère,
Le
Devoir.