Je voudrais me déposer la tête

Je voudrais me déposer la tête

L’histoire se déroule en banlieue. Alliant prose poétique et grande lucidité, Jonathan Harnois raconte sans complaisance les sentiments vécus après le suicide de son meilleur ami, et ses efforts pour donner un sens à sa propre vie.

Une magnifique ode à la vie, à l’amitié et à l’amour.

Je voudrais me déposer la tête

96 pages
Version papier
ISBN
978-2-923107-02-8
$ 16,95
€ 11,00
Version EPUB
ISBN
978-2-923107-31-8
$ 11,99
€ 8,00

Jonathan Harnois est né à Joliette. L’adaptation théâtrale de son roman, jouée par le théâtre PàP à l’Espace Go, et mise en scène par Claude Poissant,en avril 2007 a été suivie du le film Le lendemain de la fête de Stephan Miljevic en 2008, dans lequel l’auteur nous mène sur les lieux de son roman.

Revue de presse

  • Je voudrais me déposer la tête. « Quand chaque mot est le mot juste et qu’il est à la bonne place dans la phrase, ça donne un livre épuré et dense en contenu. » « Ça en fait un livre lumineux. » Coup de cœur de la libraire Chantal Savoye (Librairie-Café Le Mot de Tasse), Première heure estivale, Radio-Canada Québec, juillet 2022

  • Je voudrais me déposer la tête Jonathan Harnois parle de son rapport à l’écriture dans le contexte d’un projet avec quelques camelots de l’Itinéraire : « Je pense que si les livres existent, si les œuvres littéraires continuent d’exister, si les chansons continuent d’exister, on n’est pas sauvé, mais on se donne une chance. » Reportage « Le pouvoir de l’écriture » à l’émission Second regard (Radio-Canada).

  • Je voudrais me déposer la tête – Six représentations d’une adaptation d’Olivier Normand du roman de Jonathan Harnois ont eu lieu du 15 au 21 octobre 2017, au Théâtre du Conservatoire d’art dramatique de Québec.

  • L’Union des écrivaines et des écrivains québécois est heureuse d’annoncer que l’écrivain Jonathan Harnois est le tout premier lauréat de la Bourse Jean-Pierre-Guay – Caisse de la Culture.

    Réunis le 30 avril dernier à la Maison des écrivains, les membres du jury – les écrivains Roxanne Bouchard, Pierre Nepveu, François Turcot et la libraire Manon Trépanier – ont rendu une décision unanime, en présence de Ginette Major (observatrice, déléguée par la Caisse de la Culture). Le jury a tenu à souligner la cohérence du projet de monsieur Harnois qui prendra la forme d’un recueil de nouvelles. La sobriété de son écriture, à la fois dense, poétique, rythmée, est animée d’un souffle qui secoue le lecteur et le bouleverse, ont-ils ajouté.

    Né à Joliette en 1981, Jonathan Harnois a fait des études universitaires en philosophie. Son premier roman, Je voudrais me déposer la tête,(Les Éditions Sémaphore) lui a valu d’être finaliste au prix Anne-Hébert en 2006. Claude Poissant a adapté l’œuvre pour le théâtre en 2007, alors que le documentaire Le lendemain de la fête s’est inspiré de son univers. En 2009, il a reçu le premier prix littéraire Radio-Canada pour son récit Sonam, inspiré d’un voyage au Tibet. Depuis, il se consacre à la scénarisation de longs-métrages, à la photographie d’art et à la musique.

    La bourse Jean-Pierre-Guay – Caisse de la Culture a été créée afin de rendre hommage à la mémoire de Jean-Pierre Guay (1946-2011) dont le travail à la présidence de l’UNEQ a, grâce à un règlement important dans le dossier de la reprographie, donné à l’Union une assise financière solide et a également permis la création du Fonds de secours Yves-Thériault.

  • « J’ai découvert ce sublime roman par l’adaptation théâtrale mise en scène par Claude Poissant en 2007. Depuis, je relis souvent cette œuvre d’une poésie douloureuse, qui rend magnifiquement compte de la puissance de l’amitié et qui raconte le suicide de manière très poignante, témoignant aussi du désarroi des banlieues québécoises avec une grande acuité. » Une suggestion de Yanik Pépin, à Plus on est de fous, plus on lit, le 14 février 2013.

  • http://www.litterature-quebecoise.com/oeuvres/jevoudraismedeposerlatete.html
    http://www.ledevoir.com/2007/04/06/138446.html
    http://www.canoe.com/divertissement/arts-scene/critiques/2007/03/30/3871403-jdm.html
    http://www.radio-canada.ca/radio/christiane/modele-document.asp?docnumero=34834&numero=1880

  • Harnois parvient avec brio à éviter les écueils de ce thème mille fois visité et nous livre un récit tout en nuances, porté par une plume d’une beauté douloureuse. Anne-Pascale Lizotte, de la librairie Monet, Le libraire.

  • … écrivain aux ardeurs rimbaldiennes. Sarah Mouton, Entre les lignes

  • Je voudrais me déposer la tête sort la poésie des cimetières et s’en sert pour nous faire vivre un récit véhément. Laurence Deschamps-Laporte, L’artisan étudiant.

  • Harnois ne fait pas du style, il a du style. Josée Bonneville, Lettres québécoises.

  • … un sublime petit essai de Jonathan Harnois qui restera longtemps gravé dans l’esprit du lecteur. Magique. Martin Gignac, CHOQ.FM

  • Un livre tout à fait étonnant… maîtrisé… lumineux… Vie intérieure d’un enfant de la banlieue… Les personnages sont tous beaux, tous forts, même Félix qui se suicide… Je le recommande à tout le monde. Raymond Cloutier, Porte ouverte.

  • Par son sujet d’actualité, ce roman devrait particulièrement intéresser les lecteurs dans la vingtaine. L’histoire captivante, qui se lit en moins de deux heures, va au cœur des choses et ne s’encombre pas d’un discours moralisateur, maintes fois entendu, sur un enjeu dérangeant. Olivier Dumas, Montréal Campus.

  • C’est un tout petit roman, peu de pages, peu de mots, mais chaque mot est minutieusement pesé, comme si c’était de l’or (…) Il y a, dans ce récit douloureux traversé par des éclairs de lucidité, bien assez de trouvailles, de beauté, d’images bouleversantes, pour faire oublier les quelques naïvetés. Marie-Claude Fortin, La Presse.

  • Ma plus grande révélation littéraire de ces deux dernières années. […] J’ai été happé, troublé, bouleversé. C’est un roman formidablement poétique […] des images qui font des éclats, des éclairs […] roman d’une beauté inouïe. Un véritable écrivain est né. Pierre Bernard à Christiane Charette, 6 fév. 2007.

  • Jonathan Harnois traite le thème délicat du suicide par petites touches sensibles et nous donne à lire un récit poétique poignant. L’auteur à l’imagination fantaisiste invente des métaphores qui se répondent à quelques pages de distance, crée des atmosphères, les défait aussitôt, déforme les mots pour en faire jaillir un nouveau sens. Il faut, pour entrer dans ces pages, une lecture lente si on veut apprécier le style imagé et tout en douceur de ce jeune écrivain qu’il faudra surveiller de près. De très près. Suzanne Giguère, Le Devoir.