Une
femme
apprend
qu’elle
en
a
pour
quelques
mois
à
vivre.
«
Je
veux
du
temps.
Je
veux
être
avec
mes
enfants
le
plus
longtemps
possible
»,
se
dit-elle
avant
de
commencer
les
traitements.
J’étais si bien raconte, dans la première partie, la lutte et les espoirs de guérison de la mère, le deuil progressif qu’elle doit faire de ce qu’elle fut et de tous ses petits bonheurs quotidiens. Dans la deuxième partie, l’homme relate sa vie et les réactions des enfants après la mort de l’être aimé. Ce roman est une magnifique ode à la vie, à l’amour et à la famille.