Le 9 septembre 1957 : c’est sous de bons auspices qu’Amalia décide de livrer le récit d’événements qu’elle ne pourrait confesser ni à Dieu ni au diable. Encore moins aux villageois de son petit recoin figé du sud de l’Italie, où perdre la face est pire que tout. Prise entre les restrictions sociales et sa propre curiosité, entre sa dévotion religieuse et les charmes du Muet, Amalia se découvre des passions dont elle ne soupçonnait pas l’existence.
Roman à la fois intime et pittoresque, La porte entrouverte donne sur ces moments où la vie se joue de l’honneur et des conventions sociales.