Un jeune homme s’enlise dans un marais entre une saule pleureuse impossible à consoler, un gamin plein d’une vie dérangeante, une luciole amoureuse, des grenouilles, des oiseaux de fer, de la vase et de la brume et une maison aux trous bouchés par les livres.
Ce roman porte sur la mélancolie, à la fois douce et paralysante, et sur le courage de briser son étau. C’est une allégorie à travers laquelle un riche imaginaire côtoie la brutale réalité d’êtres éclopés, tous prisonniers du marais qu’ils se sont fabriqué. Un roman où la beauté l’emporte sur la misère, le goût de vivre, sur la torpeur et la colère et la tendresse, sur la résignation.