La
mort
de
la
mère
puis,
peu
après,
celle
du
père
annoncent
pour
l’auteure
le
temps
de
vider
leur
maison
respective,
de
faire
place
nette.
Par
vagues
et
ressacs
de
plus
en
plus
puissants,
des
souvenirs
surgissent
à
travers
les
objets
qui
y
sont
trouvés,
laissant
voir
les
empreintes
de
la
négligence
maternelle.
Dans
un
saisissant
récit
littéraire
qui
fait
écho
à
Bonsoir
la
Muette,
roman
d’autofiction
publié
chez
Sémaphore
en
2016,
France
Martineau
évoque
sa
mère,
les
liens
brisés,
et
cette
quête
de
réconciliation
avec
une
femme
aimée
envers
et
contre
tout.
Ressacs
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