13 septembre 2024

Tant d’hivers — « Une belle écriture, très très proche des sens. » — Denys Lelièvre, Chanson sur parole (CKRL), émission du 15 août 2024

« Tant d’hivers n’est pas un réquisitoire contre le système de santé, mais le récit autobiographique d’un être humain aux prises avec une maladie dégénérative qui l’a emprisonné dans son corps et attaché à un système de santé publique pour qui toutes les maladies passent au sas des règles administratives et de la bureaucratie. Jamais l’écrivain ne se plaint, mais il fait ressortir des moments de grands désarrois dans lesquels la maladie et le manque de soins le plongent.

Je retiens cette phrase, à la fois conclusion du récit et image forte de la relation entre la SP et l’écrivain : « C’est alors que l’hiver cesse d’être une saison, un jalon de souvenirs familiaux ou d’aventures, et devient la métaphore d’un lent glissement vers la froideur de l’absurdité administrative, des deuils d’une jeunesse sabotée par la maladie et des murs où l’on attend que le temps cesse. » » — Jean-François Crépeau, Passion chronique

3 septembre 2024

Les jambes qui dansaient sous la neige — « À lire évidemment. »

C’est en ces mots que se conclut le commentaire de Denis Morin sur Les jambes qui dansaient sous la neige, un roman « aux allures quelque peu fantaisistes » signé par Alain Chaperon.

« Pour cette histoire bien menée, l’auteur met en présence un couple qui a perdu un enfant en bas âge. Puis, la vie fait surgir au berceau un deuxième enfant. Celui-là, la mort ne viendra pas l’arracher aux bras aimants des parents. Oh que non ! L’enfant grandit et devient un jeune homme ouvert, curieux, souhaitant vivre son existence comme bon lui semble. Je me suis mis à penser à ces parents surprotecteurs qui veillent un peu trop sur leur progéniture. La plante à qui on prodigue trop de soins finit par étouffer. Pouvons-nous nous reconnaître dans ces parents bienveillants et maladroits ? Ou bien dans ce jeune qui ne rêve que de prendre ses jambes à son cou ? Que feriez-vous à leur place ? Quel rôle joueriez-vous ou avez-vous tenu dans votre propre famille ? C’est ce à quoi Alain Chaperon nous invite à réfléchir avec brio. » — Denis Morin, auteur.

8 août 2024

Tant d’hivers, dans Babelio, 5/5 :  L’auteur de ce roman nous fait voyager malgré la paralysie de ce dernier. J’ai été très étonné par le fait qu’il a écrit ce livre avec l’aide d’un logiciel de reconnaissance vocale. Je le recommande fortement. François Marcotte nous magnifie sa vie et d’une brillante façon. Jérôme Lefebvre

Le voyage de Fuentes. Jean Fontaine nous offre un roman de fiction avec des personnages, des lieux inventés, mais qui peuvent nous paraître en lien avec quelques réalités de la vie minière de l’Abitibi. On sent dans la plume de l’auteur un sarcasme léger, un humour incarné dans certains personnages secondaires qui sont amusants et rigolos. (…) L’intrigue est bien menée avec une légèreté tout en étant étoffée. (…) Je vous recommande ce roman qui nous fait passer un excellent moment de lecture. Martine Lévesque

Le voyage de Fuentes, dans Babelio, 4/5 : Une intrigue intéressante avec des rebondissements, dans une ville abitibienne fictive, mais dont les décors ressemblent parfois étrangement à des lieux réels que je connais. Cette familiarité crée une certaine connivence avec l’auteur et son roman qui rend l’évaluation tout à fait subjective. Bilodoh

2 juillet 2024
  • « contestataire » • « dénonciateur » • « déstabilisant » •

C’est en ces termes que Louis Gosselin a décrit Le voyage de Fuentes dans sa revue au Cochaux Show à l’édition du 22 juin 2024 et nous ne pouvons que nous en réjouir! Le pari de Jean Fontaine est donc réussi : de pondre un « roman très intéressant », à « l’écriture riche en références de toutes sortes », parsemée de gouaillerie et raillerie, qui saurait brasser la cage et éviter que les combats socioenvironnementaux du jour tombent, encore une fois, dans l’oubli…

La section portant sur Le voyage de Fuentes commence à la 24e minute.

17 juin 2024
« drôlement sérieux et sérieusement drôle » — Le 14 juin dernier, à son émission Agora sur Ici Télévision, Kamal Benkirane a reçu Jean Fontaine, auteur du roman Le voyage de Fuentes, une sorte de petite fable sérieuse au ton festif! Ils ont entre autres discuté de la façon de traiter de thèmes engagés tout en étant engageant, pour à la fois ravir le lecteur et mettre l’esprit en mouvement. Pour visionner l’entrevue, cliquez ici.
 
 
7 juin 2024

Tant d’hivers — « C’est un livre vraiment magnifiquement écrit; c’est de toute beauté. » — Anne-Josée Cameron, Fahrenheit 89,1, CKRL

31 mai 2024

« Avec Tant d’hivers (Sémaphore, 2024), François Marcotte nous propose autant une leçon de courage que la révélation d’une véritable voix créatrice. » — Olivier Dumas, L’aut’journal

27 mai 2024

Tant d’hivers — « C’est superbement écrit d’une part. Mais ce qui nous touche c’est de le voir décroître physiquement avec sa mère dans les dernières lignes qui veille sur lui comme une aidante naturelle. C’est un attendrissant portrait qu’il fait de celle qui l’a mis au monde et qui continue à le veiller sans relâche. À ceux qui cherchent des zones d’humanité, vous êtes à bonne enseigne. » — Culturehebdo.com

21 mai 2024

Un doublé printanier pour Tant d’hivers ! — Ces derniers jours, deux lecteurs conquis ont eu de très bons mots pour le premier livre de François Marcotte.

** Sur France Inter, à l’édition du 18 mai de La Librairie francophone, Josianne Létourneau, libraire à la librairie Paulines, a fait de Tant d’hivers son Coup de cœur! C’est à entendre en balado, à la 23 min 40 s : https://bit.ly/4aqddt3

** Le 20 mai dernier, Denis Morin a livré sur son blogue sa lecture de cet « excellent exemple de l’écrivain résilient confiné dans son corps, mais aucunement dans sa tête ». C’est à lire ici : https://bit.ly/3WPsOPW

9 mai 2024

Le voyage de Fuentes, un roman engagé et coloré ! — « N’était-ce de la tonalité, on pourrait y voir un roman engagé qui dénonce les effets néfastes des mines en Abitibi, même si Aiguebelle-les-Mines est une ville fictive. Le romancier, inspiré par la littérature sud-américaine, colore son roman de rocambolesque. L’histoire loufoque de la fondation du village de Sagrado Corazón de los Andes, imaginaire lui aussi, est celle des tantes Charlottes et Pénélope, parfaites francophiles qui ont élevé en français et bercé le jeune Fuentes au son de chansons françaises, en sont des illustrations. L’intrigue se ramifie, digresse, passe du Pérou à la ville d’Aiguebelle-les-Mines, pour tantôt retracer l’existence de Michel Boileau, alias Mike Drinkwater, et de sa compagne dite « la Sorcière » ou raconter les complotes et collusions qui agitent la ville minière. Bref, une histoire où s’accumulent un flux de péripéties narrées dans une langue logorrhéique, où l’onomastique est pittoresque. Le mystère initial au sujet des jumeaux n’est résolu qu’à la fin. Un roman, donc, où le suspense côtoie la légèreté sans masquer les thèmes politiques liés à l’environnement. » — Pierrette Boivin, Nuit blanche, no 174

26 avril 2024

Tant d’hivers. Une fiction réalité. Les hivers d’aventure, d’enfance. Un acte littéraire et de résistance. « Il faut voir l’auteur, non comme un handicapé, mais comme un auteur. » François Marcotte. Entretien avec Michel Bédard, le 24 avril 2024, à l’émission Les Capés à CKIA 88,3. radio urbaine

24 avril 2024

Le Citoyen Fuentes! — Dans l’édition du 24 avril du journal Le Citoyen Rouyn – La Sarre, Lucie Charest nous offre un très bon portrait de Jean Fontaine, l’auteur du roman Le voyage de Fuentes, une histoire aux racines abitibiennes, tout comme son maître d’œuvre ! On souligne dans cet article le côté engagé du roman, « avec l’engagement du lecteur » : « Mais attention, même si le sujet peut paraître des plus sérieux, ceux qui connaissent la verve et la plume de Jean Fontaine savent déjà à quel point son écriture est festive et débordante de rebondissements plus loufoques les uns que les autres ».

Une profondeur toute abitibi-latino-américaine, quoi!

20 avril 2024

Corsaire d’hiver : « roman instructif et humoristique… à lire… »

Sur son blogue, Denis Morin nous propose un double retour dans le passé, en signant un commentaire sur Corsaire d’hiver, un roman publié en 2019 qui nous fait découvrir Pierre Le Moyne d’Iberville, un personnage historique tout aussi coloré que la plume de l’auteur Jean-Marc Beausoleil!

Le voyage de Fuentes : « récit coloré et entraînant »!

« Il y a des scènes désopilantes, dont la prise de contrôle par des manifestants enthousiastes d’une assemblée d’actionnaires de la mine, pourtant tenue à Toronto. Et il faut lire comment Sagrado Corazón est devenu un lieu sacré ! Mais Fontaine y va aussi de précisions qui ramènent au réel, que ce soit à propos de la politique péruvienne ou des désastres environnementaux causés par les minières en Abitibi. Aiguebelle-les-Mines est un lieu fictif, mais pas les problèmes auxquels les populations sont confrontées. Même Fuentes en reviendra ébranlé !

Tout cela est fou, et pourtant pleinement d’actualité. Et que d’ironie jusque dans la finale ! » — Josée Boileau, Le journal de Montréal/Le journal de Québec

 

28 mars 2024

Bizarreries dans Solaris — « Dans le monde résolument banal dépeint par l’auteur, l’être humain n’a aucune certitude et ne contrôle pas son destin quoi qu’il en pense. La technologie ou les leviers psychologiques qu’il utilise finissent toujours par lui échapper. Mélange de neuroscience et de spiritisme, « L’Actrice » illustre à merveille ce constat dans ce qui s’avère la nouvelle la plus ambitieuse du recueil. […] Bizarreries du banal s’avère un recueil très satisfaisant, à l’écriture maîtrisée, qui offre une intéressante variété de récits réalistes et plus ou moins fantastiques » — Claude Janelle, Solaris, no 230

7 mars 2024

Le voyage de Fuentes poursuit sa tournée de charme ! « J’ai aimé l’imagination, la culture, l’humour fin de Jean Fontaine, sans oublier l’intrigue qui est soutenue jusqu’à la toute fin. Belle découverte, je vous en souhaite tout autant ! » — Marie-Anne Poggi, Les Irrésistibles, 7 mars 2024

13 février 2024

Dans la capsule 97 de l’Avaleur de livres, Steven Renald commente sa lecture du roman Le voyage de Fuentes, de Jean  Fontaine : « C’est remarquable d’être capable de jouer avec la politique, de jouer avec l’environnement, tout ça dans un thriller. Chapeau! »

7 février 2024

Entretien d’une heure de Claudine Bertrand avec Philippe Haeck, sur Nous sommes des énigmes. RVM 91,3 FM. Disponible en baladodiffusion.

Le voyage de Fuentes. « Ce roman engagé, empruntant la tonalité de certaines œuvres latino-américaines, nous plonge dans le regard d’un homme qui voit l’Abitibi sous l’œil de l’étranger et qui y perçoit l’exploitation industrielle qui y est faite, les dessous moins reluisants qu’on ne peut plus taire. » — Sur les rayons, Le Libraire, numéro 141, p. 12.

Poussières dans l’espace  — « Le style est très concis : les chapitres sont  brefs, les événements s’enchaînent rapidement […]. Le texte est situé dans le futur mais, par des métaphores, les auteurs font une critique habile du présent. Ce qui donne un deuxième niveau de lecture au livre et, comme les rêves, donne une autre vision du monde. » — Mariane Cayer, Solaris, no 229.

Bravo à Mazen!  Poussières dans l’espace fait désormais partie du Dictionnaire des auteurs des littératures de l’imaginaire en Amérique française (DALIAF).

24 janvier 2024

Dans sa 93e capsule littéraire, Steven Renald, alias L’Avaleur de livres, fait la part belle à Poussières dans l’espace de Mazen Abdallah et Haidar Safa, un roman d’anticipation qu’il a beaucoup aimé. On visionne en cliquant ici!

18 décembre 2023

David Dorais commente plusieurs nouvelles du recueil de Jacques Lemaire, Disparaître. « Et il est vrai qu’on se prend à songer à Dina Buzzati ou à Julio Cortâzar devant ces textes où un univers en apparence prosaïque connaît peu à peu des ratés et finit par verser dans un ordre de réalité autre. […] L’identité constitue d’ailleurs un thème crucial de Disparaître, par exemple dans cette histoire où un individu se croise lui-même au centre-ville de Montréal et se prend en filature, ou dans cette autre (lauréate du Prix de la nouvelle Radio-Canada 2019) où un homme entre en communion, à travers une photographie, avec un prisonnier juif qui se fait fusiller pendant la Seconde Guerre mondiale. […] Comme la photo, le fantastique de Lemaire reproduit la réalité tout en la recréant à l’intérieur d’un nouveau cadre où elle acquiert une vie propre. » David Dorais, revue XYZ, no. 156 – hiver 2024, p. 95-97.

13 décembre 2023

« Un auteur versatile » — « Je le lirais n’importe quand! » — Peu d’auteurs peuvent se targuer d’avoir su à la fois déboussoler et charmer un lecteur. C’est pourtant ce qu’aura réussi Alain Chaperon avec son dernier opus, Les jambes qui dansaient sous la neige, avec cet intéressant et singulier mélange de réalisme et d’absurde!
Écoutez le commentaire de Venise Landry, chroniqueuse littéraire au Cochaux show .

1 décembre 2023

Félicitations à Éric C. Plamondon, auteur de Bizarreries du banal, lauréat du Prix des Horizons imaginaires 2023.

Les jambes qui dansaient sous la neige: «Original et courageux.» Winston McQuade

Entrevue de Mazen Abdallah avec René  Cochaux show à la parution du roman d’anticipation Poussières dans l’espace en version française. «Unifier les rêves, c’est mettre fin à la diversité.» de dire Mazen Abdallah.

« Oui c’est triste, mais la vie est triste! »

Pour sa chronique à l’émission Les matins éphémères, Bärbel Reinke a lu « des livres qui vont bien ensemble » : Ce que je sais de toi, de Éric Chacour aux Éditions Alto, et le récit de Jean-Benoit CB, Boire la mer les yeux ouverts. « De toute beauté. C’est quelque chose à lire et ça redonne foi en l’humanité. »

 

6 septembre 2023

POUSSIÈRES DANS L’ESPACE / Mazen Abdallah et Haidar Safa (trad. Sylvie Beaupré) «Les questions éthiques en lien avec les avancées technologiques sont d’actualité. Et ce roman d’anticipation, qui les aborde justement, a été écrit, en arabe, en 2008, à quatre mains. Il nous place en 2050, alors que des scientifiques dans un laboratoire militaire œuvrent à mettre au point des armes qui permettent de gagner des guerres sans pertes humaines, seulement… par l’implantation de rêves communs. On y croise ainsi des prisonniers qui, tous, ont fait le même rêve, une même nuit. Et il y a aussi cette jeune Bernadette, qui a le don d’entrer dans les rêves des autres à sa guise. Un roman qui aborde de grandes questions, dans une plume merveilleuse grâce à la traduction de Sylvie Beaupré.» Les libraires

Le poids des choses ordinaires. «C’est bien raconté, c’est bien écrit, c’est à lire.» Suzanne Dion, chroniqueuse à Samedi de lire, 26 août 2023

Nous sommes des énigmes. Une fois l’éclectisme accepté comme manière de percevoir le monde, j’ai goûté l’érudition et le foisonnement d’idées de l’auteur [Philippe Haeck]. Ses longs paragraphes tiennent lieu de labyrinthes où l’on se perd et se retrouve. On se laisse bercer par une sorte d’envoûtement. Bref, voici un livre à découvrir si vous aimez la littérature et la philosophie.» Denis Morin, auteur et blogueur

29 juin 2023

Considérations sur notre passage terrestre
«Sur la couverture de Nous sommes des énigmes de Philippe Haeck, on nomme cet ouvrage par « Notes ». Car effectivement c’est une démarche où l’auteur couche sur papier, tout ce qui lui passe par la tête touchant à notre situation existentielle. Les référents à la culture sont multiples passant de Montaigne à Léo Ferré en passant par Etty Hillesum. Nous prévenons le lecteur, ne comptez pas lire le tout à une vitesse folle, cela ne serait d’aucun intérêt. […] On pourrait mentionner que ce qui fait la beauté de l’exercice, c’est que l’être humain ne peut compter que sur la culture, la connaissance pour sa rédemption. Sinon tout est vacuité.» Daniel Rolland, Culturehebdo, mars 2023.

Nous sommes des énigmes. « Il y en va de Haeck comme de ces figures dont on ne mesure l’importance réelle qu’à rebours. De ceux qui trament leurs ouvrages isolés, mais dont les mots chargés de lumière éclairent une génération nouvelle. Auteur de plus d’une vingtaine de titres sur près de 50 ans, commentateur de l’œuvre des autres et de la vie courante, il portera tour à tour le chapeau d’enseignant, de poète, de romancier et d’essayiste, laissant sa marque chez ses émules comme chez ses amis. Montréalais d’origine, universaliste en lecture, il signe ici des notes au cours et au verbe libres, auxquelles il accroche des réflexions, ses intimes et ces auteurs qu’il chérit, comme une poésie ouverte à l’autre et à ses mots. Ce livre est son deuxième opus en réponse aux trois Essais de Montaigne et à Il y a tant d’il y a. » Jean-François Crépeau, Le Canada français, 29 juin 2023, p. A.33.

« Véritable coup de poing littéraire se situant à l’intersection du texte poétique et de la biographie, le récit de Daniel Gagnon-Barbeau ramène à la surface les souvenirs d’un homme se remémorant les abus subis alors qu’il était encore tout jeune. » Migneault, Benoit, Fugues, juillet 2023, # 469.

Les écrits de Philippe Haeck dégagent une originalité, une curiosité, de l’initiative et une ouverture qui donne une certaine liberté à ses mots et sa prose. Martine Lévesque, Les mille et un livres, juin 2023.

19 mai 2023

« Révolté, les poings serrés, j’ai refermé ce témoignage désarmant. […]  Cette complainte est le chant le plus terrible que j’ai pu parcourir au cours des dernières années. Je crois que vous ne serez pas nombreux à réagir ou à vous risquer Dans les ténèbres de l’omerta. Je vous connais mes lecteurs. Vous n’aimez pas ce genre de témoignage. Je vous comprends, mais nous devons savoir, entendre ceux et celles qui osent prendre la parole, dénoncer, accuser et décrire une enfance où tout leur a été enlevé. » Yvon Paré, 18 mai 2023, DANIEL GAGNON-BARBEAU A VÉCU L’ENFER

20 avril 2023

Sur Le poids des choses ordinaires, roman de Lise Demers. « Un texte dérangeant et particulièrement percutant. Un roman qui aborde la question identitaire des francophones du Québec, les concessions que les politiciens font devant les grandes puissances d’argent, les chercheurs universitaires qui se faufilent dans les coulisses du pouvoir pour rafler toutes les subventions et qui acceptent des montants importants des entreprises privées. » Littérature du Québec, chronique d’Yvon Paré publié le 19 avril 2023. Pour un aperçu historique de la littérature «engagée,» cliquez sur Littérature du Québec.