«Ici,
l’asphyxie
est
multiple
et
est
partout.
Dehors,
au
travail,
dans
sa
maison,
avec
son
entourage,
dans
son
corps
ou
dans
son
esprit.
Heureusement,
dans
cette
sombre
ambiance
se
dessine
un
peu
de
lumière.»
«Asphyxies
est
un
excellent
roman
sur
la
déshumanisation,
l’effacement
de
soi
et
l’expression.
Cruel,
il
sert
entre
autres
de
prise
de
conscience
pour
que
nous
puissions
changer
les
choses
avant
que
nous
ne
manquions
d’air…»
Émanuelle
Pelletier-Guay,
revue
Solaris,
été
2020