Un photographe de presse se raconte. Ou plutôt, il raconte ses aventures abracadabrantes, cauchemardesques, alors qu’il était en mission, à la fin des années 1990, à Luanda, en Angola. En pleine guerre civile. C’est l’approche adoptée par Éric de Belleval dans son troisième roman, Reportages sous influence. C’est ce qui rend son histoire si prenante. Et déconcertante. On a à la fois le décor, terrible, et l’envers du décor, tout aussi terrible.
Personne
n’est
épargné
dans
cette
histoire,
tout
le
monde
avance
masqué.
Tout
le
monde
ment,
finalement.
Comme
le
fait
remarquer
l’une
des
protagonistes :
« On
se
balade
tous
de
mensonge
en
mensonge.
C’est
impossible
de
vivre
autrement. »
Danielle
Laurin,
Le
Devoir,
27
juin
2015.
Excellent article de Danielle Laurin. Pour le lire en entier, cliquer ici.