Libre-Échange,
Éric
de
Belleval
…C’est
ainsi,
à
mesure
que
l’on
avance
dans
le
récit,
que
le
ton
détaché,
distant
–
voire
précieux
–
du
livre
trouve
toute
sa
justification.
Il
nous
amène
à
être
de
plus
en
plus
hypnotisés
par
la
joute
cruelle
qui
se
déroule
sous
nos
yeux… Josée
Boileau Le
Journal
de
Montréal,
Weekend