Dans ce « roman d’une tuerie », triste réalité, Nathalie Babin-Gagnon multiplie les points de vue.
« Il y a avant la tragédie. Il y aura après. Avant, tout nous y prépare. Tout est là […] Le point de vue d’un bourreau, le point de vue d’une victime […] Nathalie Babin-Gagnon maîtrise l’art de la multiplication des points de vue. L’art d’émouvoir, aussi. Et d’écorcher, au passage. Danielle Laurin, Le Devoir.