Hélène
Ferland
maîtrise
le
genre.
Une
trentaine
de
nouvelles
sont
donc
réunies
ici
au
moyen
de
deux
fils
conducteurs,
à
savoir
un
élément
de
la
nouvelle
précédente
qui
se
retrouve
dans
celle
en
cours
(un
enfant,
la
mort,
l’eau,
la
maladie
par
exemple)
et
des
citations
extraites
de
Carnets
du
méditant
de
Salah
Stétié
en
tête
de
chaque
nouvelle.
[…]
toutes
ont
un
petit
quelque
chose
qui
nous
incite
à
penser
que
l’auteure
risque
de
nous
étonner
encore,
tant
elle
a
d’histoires
dans
la
tête
(et
j’ose
espérer,
dans
ses
tiroirs
ou
en
cours
d’écriture)
et
parce
qu’elle
sait
ne
pas
les
étirer
à
outrance,
ce
qui
a
l’heur
de
me
plaire.
Christine
Champagne.